Noble Jehan de La Verchière, curé de Saint Séverin d’Espinasse appartenait à la Maison de Tournebize. Il était tout à la fois curé d’Espinasse et d’Escoutoux. En 1562, il signa avec les habitants de cette dernière paroisse un concordat, que ceux-ci firent ratifier par le pape Pie IV. Par ce contrat, le curé d’Escoutoux s’engageait, en son nom personnel et au nom de ses successeurs, à ne pas tenter de lever de dîmes, sur les terres de la paroisse, où ses prédécesseurs n’avaient pas coutume d’en lever. En retour, les paroissiens promettaient de lui payer, chaque année, à la Toussaint, dix septiers de seigle et de lui procurer un presbytère avec étable et grange, pour serrer les grains et les pailles des dîmes qu’il continuerait de percevoir sur les cantons, qui en étaient grevés, d’ancienne date. Il gardait en outre la jouissance du jardin et du pré de la cure.
A la date du 26 octobre 1562, Messire Jehan de Tournebize ne résidait pas à Escoutoux, et Messire Mathieu Reddon, prebtre et vicquaire, avait « de luy charge de la dicte cure, tant en spirituel que temporel ». Il est probable qu’il desservait pas davantage Espinasse et qu’il possédait ces deux cures en commende, suivant un abus assez fréquent, à cette époque.
En janvier 1570, il se démit de ces deux cures, peut-être pour se conformer aux décrets du Concile de Trente, qui venait d’interdire, avec le cumul des dignités, la possession en commende de bénéfices à charge d’âmes. (Abbé Adrien Adam « La vicomté et paroisse d’Aubusson » 1923, p. 42 & 43).
A la date du 26 octobre 1562, Messire Jehan de Tournebize ne résidait pas à Escoutoux, et Messire Mathieu Reddon, prebtre et vicquaire, avait « de luy charge de la dicte cure, tant en spirituel que temporel ». Il est probable qu’il desservait pas davantage Espinasse et qu’il possédait ces deux cures en commende, suivant un abus assez fréquent, à cette époque.
En janvier 1570, il se démit de ces deux cures, peut-être pour se conformer aux décrets du Concile de Trente, qui venait d’interdire, avec le cumul des dignités, la possession en commende de bénéfices à charge d’âmes. (Abbé Adrien Adam « La vicomté et paroisse d’Aubusson » 1923, p. 42 & 43).