mardi 7 septembre 2010

Date du Jour - 7 septembre

Le 7 septembre est le 250e jour de l'année (251e en cas d'année bissextile) du calendrier grégorien.

Il reste 115 jours avant la fin de l'année.

C'était généralement le jour de l'églantier, 21e jour du mois de fructidor dans le calendrier républicain français.


L'on fête les Reine :

  * Sainte Reine est une sainte martyre de l' Église catholique, née à Autun (France), fêtée le 7 septembre.

En 252, une jeune gauloise de seize ans prénommée Reine, convertie au christianisme, faisait paître ses moutons au pied du mont Auxois, site aujourd'hui présumé de l'oppidum d'Alésia. Le gouverneur romain des Gaules, Olibrius (ou Olimbrius), voulut abuser d'elle mais elle résista et refusa même le mariage pour ne pas abjurer sa foi. Elle fut martyrisée, et décapitée. Dès le siècle suivant, un culte se développa, le martyre de cette sainte devenant plus tard le sujet d'un grand nombre de mystères.

Le culte de cette sainte a pu être garanti par la découverte en 1909 du « service eucharistique » d'Alésia. Découverte constituée d'un ensemble comprenant un plat et trois coupes qu'on suppose utilisés pour la célébration de l'eucharistie. Le plat porte un poisson en gravure (l' ictus comme à Autun), et le nom de « Regina ». L'ensemble daté du IVe siècle ne met plus en doute l'existence de la jeune martyre.

Le village, Alise-Sainte-Reine, qui se développa au pied du mont Auxois la prit pour patronne et, chaque année, les habitants organiseront la représentation d'un mystère à sa mémoire et en son honneur. Cette tradition est attestée depuis 866 et perdure encore aujourd'hui. Ce serait le plus ancien mystère célébré sans interruption en France.

Ses reliques ont été conservées dans l'abbaye de Flavigny-sur-Ozerain depuis le milieu du IXe siècle.

Les similitudes existant avec la vie de sainte Marguerite d'Antioche conduisent des auteurs à considérer que le récit de l'histoire de sainte Reine est apocryphe, cette tradition pouvant toutefois être le souvenir d'un fait local. (Wikipédia)

Quelques évènements :

  * 878 : Le pape Jean VIII sacre et couronne une deuxième fois Louis II le Bègue, mais refuse de couronner Adélaïde de Frioul, peut-être à cause de la répudiation d'Ansgarde de Bourgogne. - 1151 : Décès de Geoffroy V d'Anjou, comte d'Anjou et du Maine, puis duc de Normandie. - 1533 : Naissance d'Elisabeth Ire d'Angleterre. - 1866 : Naissance de Tristan Bernard, écrivain et humoriste français. - 1909 : Naissance d'Elia Kazan, réalisateur et metteur en scène américain. - 1930 : Naissance de Baudouin de Belgique, roi des Belges. - 1968 : Naissance de Marcel Desailly, footballeur français. - 1972 : Naissance de Matthieu Gonet, musicien français. - 1977 : Naissance de Maud Fontenoy, navigatrice française.

Dicton du jour.

« A la Sainte-Reine, sème tes graines. »

Sources : Wikipédia

Montboissier-Beaufort-Canillac (de) Philippe-Claude

Né en Basse Auvergne le 21 décembre 1712. Fils de Philippe Claude, marquis de Montboissier, lieutenant général des armées du roi, mort en 1765 au château de Pont-du-Château et de Marie-Anne Geneviève de Maillé. Comte de Montboissier, seigneur de Pont-du-Château. Assiste à un grand nombre de batailles. Reçoit commission de commandant en chef en Haute et Basse Auvergne 21 décembre 1775. Elu député aux Etats-Généraux pour le baillage de Clermont 1789. Chevalier des ordres du roi, lieutenant général de ses armées. Emigre en 1789, rejoint l’armée des princes qui lui donnent le commandement en chef des compagnies nobles d’ordonnance. Passe en Angleterre après le licenciement de l’armée des princes et meurt à Londres en 1797. (Dictionnaire biographique du Puy de Dôme)

Montboissier-Beaufort-Canillac (de) Pierre-Charles

Né à Pont-du-Château en septembre 1694. Fils de Guillaume Michel, marquis de Pont-du-Château, sénéchal de Clermont et de Geneviève Gédoyn. Lieutenant général des armées. Il sut plaire au Régent tout en lui disant les vérités les plus fortes et se montrer vertueux. (Dictionnaire biographique du Puy de Dôme)

Jean de Montboissier-Beaufort-Canillac

Né au château de Pont-du-Château vers 1650. Fils du précédent et de Michelle de Ribeyre. Il fut lieutenant général et, après la mort de Louis XIV, fit partie du conseil de régence. (Dictionnaire biographique du Puy de Dôme)

Guillaume de Montboissier-Beaufort-Canillac

Né au château de Pont-du-Château vers 1620. Marquis de Pont-du-Château, seigneur des Martres d’Artières. Fils du précédent et d’Angélique Maréchal. Servit avec distinction dans les guerres d’Italie. Sénéchal de Clermont 1664/1682. Ses méfaits l’avaient fait surnommer « l’homme aux douze apôtres ». Il dut comparaître aux Grands Jours d’Auvergne, en 1666, pour rendre compte de ses violence, mais quoique le plus coupable, il en fut quitte pour une légère amende, mourut en 1682. (Dictionnaire biographique du Puy de Dôme)

Guillaume de Montboissier-Beaufort-Canillac

Né au château de Pont-du-Château vers 1590. Fils de Henri, baron de Pont-du-Château, sénéchal de Clermont, tué au siège de Montauban en 1621, et de Péronnelle de Cébazat de Blanzat. Baron de Pont-du-Château, marquis de Canillac, etc. Sert en Flandre 1625 ; au siège de la Rochelle où il obtient une compagnie de chevaux légers, en Piémont, au siège de Casal où il eut l’œil droit et une partie du nez emportés d’un coup de mousquet. Contribue à la prise de Moyenvic 1630. Commande un escadron de cavalerie en Languedoc contre les troupes du duc d’Orléans 1631. Obtient le commandement de la cavalerie dans le pays des Grisons 1632, contribue à la conquête de la Voltoline, eut une jambe cassée au siège de Blètereau (Bourgogne). Se trouve au secours de Casal, au fameux combat de Lignes devant Turin. Maréchal de camp 1646, sénéchal de Clermont 1646/1664, sert à la prise de Porto Longo. Sert en Catalogne où il a le commandement de toute l’armée jusqu’à l’arrivée du duc de Mercœur . Général de la cavalerie. Crée lieutenant général (10 juillet 1652). Commande dans la Guyenne avec le duc de Candale. Sert en Italie. Meurt en son château de Pont-du-Château en 1664. (Dictionnaire biographique du Puy de Dôme)

Philippe de Montboissier-Beaufort-Canillac

Fils de Charles-Timoléon de Montboissier-Beaufort-Canillac, né au château de Sugères vers 1670, chevalier, prince de Combret, marquis de Canillac, comte de Saint-Cirgues et de Champeix, vicomte de Valernes, seigneur de la Roche, la Queuille, Saint-Urcize, Sugères, Anduze, Châteauneuf-du-Drac, Saint-Vert, seigneur de Sugères, Ceilloux, Guérines, la Trinitat, Saint-Rémy, etc. Il est exempt des gardes du corps du roi en 1674, dans la compagnie de Duras, fait sa première campagne au siège de Luxembourg 1684, capitaine dans un régiment de cavalerie (20 août 1688), se trouve à l’attaque de Valcourt 1689, à la bataille de Fleurus 1690, au siège de Mons et au combat de Lense 1691, colonel du régiment de Rouergue en 1692, brigadier des armées du roi en 1702. Il sert en Languedoc en 1703 et 1704 contre les camisards (calvinistes des Cévennes) sous les ordres des maréchaux Montrevel et de Villars. Il est promu maréchal de camp le 26 octobre 1704. Maréchal de camp (26 octobre 1704). Il devient lieutenant-général en bas Languedoc par commission du 6 mai 1720. Il meurt à Paris, sans enfant, le 29 janvier 1725, en laissant de nombreuses dettes. Ses créanciers font vendre ses différentes seigneuries.

Charles-Timoléon de Montboissier-Beaufort-Canillac

Fils de Jacques-Timoléon de Montboissier-Beaufort-Canillac, chevalier, marquis de Canillac, comte de Saint-Cirgues et Champeix, vicomte de Valernes, baron de Châteauneuf-du-Drac (et donc seigneur de Saint-Vert), Guérines, la Gueulie, Combret, les Hermeaux, Aurelle, Sugères, la Queuille, Bagnol, etc. En 1667, il épouse Claire-Julie Hurault de l'Hospital (fille d'Henri Hurault de l'Hospital, comte de Belesbat et de Beu, conseiller au parlement de Paris et maître des requêtes). Il est condamné à mort au moment des Grands Jours d'Auvergne (en 1665-1666) mais obtient ensuite sa réhabilitation. Il est maintenu dans sa noblesse par un jugement de l'intendant d'Auvergne du 6 mai 1668. Il meurt en 1678.

Jacques-Timoléon de Montboissier-Beaufort-Canillac

Fils de Jean-Timoléon de Montboissier-Beaufort-Canillac, chevalier, marquis de Canillac, comte de Saint-Cirgues, Saint-Laurent et Champeix, vicomte de Valernes, baron de Châteauneuf-du-Drac (et donc seigneur de Saint-Vert), Guérines, la Gueulie, Combret, les Hermeaux, Aurelle, Sugères, la Queuille, Bagnol, etc. En 1624, il épouse Catherine Mathel de Trefort (fille d'Ennemond Mathel, marquis de Trefort). En 1658, il fonde à Lamothe un prieuré de religieuses de l'ordre de Fontevrault. Il est condamné à mort au moment des Grands Jours d'Auvergne (en 1665-1666) mais échappe au supplice.

Jean-Timoléon de Montboissier-Beaufort-Canillac

Fils de Jean de Montboissier-Beaufort-Canillac, chevalier, marquis de Canillac, comte de Saint-Cirgues, Saint-Laurent et Champeix, vicomte de Valernes, baron de Châteauneuf-du-Drac (et donc seigneur de Saint-Vert), Guérines, la Gueulie, Combret, les Hermeaux, Aurelle, etc. Il est capitaine de cinquante hommes d'armes des ordonnances du roi et lieutenant-général pour le roi au bas pays d'Auvergne. En 1596, il épouse Gasparde Mitte de Chevrières (fille de Jacques Mitte, comte de Miolans, seigneur de Chevrières et Saint-Chamond). Le 2 février 1606, leur fille est baptisée dans la chapelle du château de Châteauneuf-du-Drac.
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