mercredi 19 janvier 2011

Viaduc des Fades


Le viaduc des Fades est un viaduc ferroviaire français lancé au-dessus de la Sioule, entre les communes de Sauret-Besserve (canton de Saint-Gervais-d'Auvergne), au nord, et des Ancizes-Comps (canton de Manzat), au sud, dans le département du Puy-de-Dôme. Il livrait passage à la ligne de chemin de fer de Volvic à Lapeyrouse (tronçon de la relation Clermont-Ferrand - Montluçon-Ville, via le plateau des Combrailles), dont l'exploitation a été suspendue le 9 décembre 2007 par la direction régionale de la SNCF. Une mesure prise officiellement « pour raison de sécurité », du fait de l'état de vétusté de l'infrastructure. La baisse de fréquentation de ladite ligne, aussi bien en voyageurs qu'en fret, explique le fait qu'elle ne bénéficiait plus d'un entretien régulier depuis des années...

Projet.

  * Cette ligne dénommée, à l'origine, « de Saint-Éloy à Pauniat » a été déclarée d'utilité publique le 22 juillet 1881. Le 20 mars 1893, elle était concédée à la Compagnie du Paris-Orléans (PO). Entre 1893 et 1896, un projet de viaduc pour traverser la profonde vallée de la Sioule est étudié successivement par les ingénieurs des Ponts et Chaussées Dupin et Guillaume, sous la direction des ingénieurs en chef Daigremont puis Draux.

À partir du 1er novembre 1896, l'ingénieur Félix Virard reprend l'étude du projet, sous la direction de l'ingénieur en chef Abel Draux. Le 26 avril 1901, le projet de l'ingénieur Virard reçoit l'approbation ministérielle. Le 25 juillet suivant, la Société Française de Constructions Mécaniques (Anciens Établissements Cail), dont les usines étaient à Denain (Nord), est déclarée adjudicataire des travaux.

Le projet retenu consistait en un viaduc semi-métallique, composé de trois travées en acier et fer laminés, à poutres droites et à treillis triple, reposant sur deux piles géantes en moellons de granit. Il était prévu un tablier unique, mais la survenue d'un glissement de terrain lors de la construction de la culée de rive gauche (côté nord) nécessita le remplacement des deux arches en maçonnerie de ladite culée par une travée métallique secondaire plus légère.

Le chantier.

  * Les travaux furent entrepris le 28 octobre 1901. Bâties à chaux et à sable, les piles sont l'œuvre de la prestigieuse "corporation" des maçons itinérants de la Creuse. Elles offrent la particularité d'être évidées, ce qui a permis leur édification sans le concours d'échafaudages, les ouvriers ayant pu être acheminés à pied d'oeuvre par l'intérieur, grâce à un monte-charge.

Le montage du tablier s'est effectué au moyen de deux "cages" volantes, une au départ de chaque rive. Épousant extérieurement le profil de l'ouvrage terminé, ces "cages" (on dirait plutôt aujourd'hui des équipages mobiles) renfermaient tous les outils nécessaires au bardage, à la pose et au rivetage des différentes pièces de l'ossature du tablier. Les travées latérales de 116 mètres ont été montées, pour la première moitié, sur un échafaudage géant (constitué d'un platelage reposant sur deux piles provisoires en bois) et, pour la seconde, en porte-à-faux. La travée centrale de 144 mètres a été entièrement mise en place en encorbellement, les deux moitiés du tablier progressant au-dessus du vide à partir de chaque pile. La jonction finale (ou clavage) s'est opérée le 18 mai 1909. Le 11 septembre, le viaduc était totalement achevé.

Du 14 au 16 septembre 1909, l'ouvrage d'art subit avec succès les épreuves de résistance, au moyen d'un train chargé de ballast dont le poids en configuration complète dépassait les 1075 tonnes. Inauguré le 10 octobre 1909, sous la présidence de René Viviani, ministre du Travail, le viaduc des Fades était mis en service dix jours plus tard.

Le viaduc des records.

  * Le viaduc des Fades était, au moment de son inauguration le 10 octobre 1909, le plus haut pont du monde, toutes catégories confondues. Il prend encore rang actuellement (en 2010) à la dixième place sur la liste des plus hauts viaducs ferroviaires mondiaux.

Ce qui fait du viaduc des Fades un ouvrage d'art exceptionnel, ce sont ses deux piles monumentales en moellons d'appareil. Culminant à plus de 92 mètres, elles restent les plus hautes piles de pont en maçonnerie traditionnelle jamais construites. Elles possèdent une base plus vaste qu'un court de tennis.

Alors que d'autres viaducs jouent sur l'élégance des courbes, celui des Fades voit triompher la rigueur de la poutre droite. Son gigantesque tablier constitue un des plus beaux spécimens de ce type. Sa hauteur est comparable à celle d'un bâtiment de quatre étages.

Localisation.

  * Vallée de la Sioule (affluent de l’Allier) ; communes des Ancizes-Comps (canton de Manzat) et de Sauret-Besserve (canton de Saint-Gervais-d'Auvergne) ; pays des Combrailles ; arrondissement de Riom ; département du Puy-de-Dôme ; région Auvergne (France).

Vocation.

  * Viaduc ferroviaire à voie unique [ligne RFF Volvic - Lapeyrouse (Liaison Clermont-Ferrand - Montluçon-Ville)]. Les circulations ferroviaires sur cette ligne ont été officiellement "suspendues" par la SNCF, à compter du 9 décembre 2007, « pour raison de sécurité ».

Maître d’ouvrage de l’époque.

  * Compagnie du Paris-Orléans (PO) (concession : Loi du 20 mars 1893).

Maître d’ouvrage actuel.

  * Réseau Ferré de France (RFF).

Plans.

  * Félix Virard (1852-1910), alors conducteur principal faisant fonctions d'ingénieur ordinaire des Ponts et Chaussées.

Dates de construction.

  * 28 octobre 1901 – 11 septembre 1909.

Maître d’oeuvre.

  * Ponts et Chaussées (Quatrième lot d’infrastructure de la ligne dite « de Saint-Éloy à Pauniat ») ; Abel Draux, ingénieur en chef à Angoulême ; Félix Virard, ingénieur ordinaire à Limoges ; Joseph Barrère, chef de section, Henri Dupré et Bonneau, sous-chefs de section aux Ancizes-Comps.

Entrepreneur.

  * Société Française de Constructions Mécaniques (Anciens Établissements Cail) à Denain (Nord). Émile Robert, ingénieur des Arts et Métiers, directeur des travaux.

Coût total des travaux.

  * 3 671 866, 75 francs de l’époque (y compris les dépenses sur la somme à valoir).

Date d’inauguration.

  * 10 octobre 1909.

Date de mise en service.

  * 20 octobre 1909.

Protection.

  * Inscrit sur l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques (arrêté du 28 décembre 1984).

Date d’inauguration de la mise en lumière.

  * 7 mai 1999.

Principales caractéristiques.

  * Longueur totale : 470,25 m (culées comprises).
  * Hauteur du rail au-dessus du thalweg : 132,50 m (le plus haut viaduc ferroviaire de France).
  * Superficie totale en élévation : 32 767 m².

Les piles.

  * Dimensions du massif des fondations : 23,61 m (L) x 12,78 m (l) x 6,00 m (P) (P = 14,80 m pour la pile de rive gauche).
  * Hauteur totale au-dessus du massif des fondations : 92,33 m (les plus hautes piles de pont en maçonnerie traditionnelle).
  * Section à la base : 21,96 m x 11,64 m.
  * Section au-dessous du couronnement : 11,00 m x 5,50 m.
  * Dimensions du chapiteau de couronnement : 12,80 m (L) x 7,30 m (l) x 3,00 m (H).
  * Volume total des maçonneries (piles et culées) : 37 135,20 m³.

La culée de rive droite.

  * Longueur totale : 24 m.
  * Hauteur maximum : 22 m.
  * Ouverture de l’arche en maçonnerie : 14 m.

La culée de rive gauche.

  * Longueur totale : 70,25 m (y compris un jeu de 0,30 m à chaque extrémité près culée du petit tablier).
  * Dimensions du petit tablier métallique : 52,90 m (L) x 5,50 m (l) x 5,82 m (H).
  * Hauteur maximum de la pile à deux avant-corps : 32,90 m.
  * Profondeur maximum des fondations de la pile à deux avant-corps : 44,64 m.
  * Hauteur maximum de la culée extrême (côté nord) à un avant-corps : 9,50 m.

Le tablier métallique.

  * Longueur totale : 375,40 m (non compris un jeu de 0,30 m à chaque extrémité près culée).
  * Largeur : 6,78 m (d’axe en axe des appuis) – 7,80 m (entre garde-corps).
  * Hauteur : varie de 11,60 m à 11,67 m.
  * Longueur des travées de rive : 115,70 m.
  * Portée des travées de rive : 115,20 m (d’axe en axe des appuis).
  * Portée de la travée centrale : 144 m (d’axe en axe des appuis).
  * Nombre total de rivets d’assemblage : environ un million (dont 237 809 posés sur le chantier).
  * Poids total actuel de la structure métallique : environ 2 604 tonnes.

Nota : une cage roulante, épousant le profil extérieur du tablier et destinée à faciliter sa surveillance et son entretien, peut circuler sur toute la longueur de l'ouvrage métallique.

Le viaduc dans l'Art.

  * Entre 1982 et 1991, tous les troisièmes week-ends du mois de juin, se sont tenus, à la halte ferroviaire des Fades, les fameux "Congrès ordinaires de Banalyse" fondés par deux universitaires rennais, MM. Pierre Bazantay et Yves Hélias. La principale occupation de nos congressistes consistait à attendre "quiconque, ayant eu vent du Congrès des Fades, avait été fortement tenté de s'y rendre" ! Les "Banalystes" étaient des intellectuels -ou non-, portés -ou non- par les mouvements situationniste et surréaliste, venus de toute l'Europe et ayant choisi ce lieu pour son nom sans ambages, sa beauté agreste et d'accès immédiat problématique voire oppressant, son viaduc, ses vieilles michelines qui s'arrêtaient six fois par jour, et à la condition expresse de faire signe au conducteur...







Sources : Wikipédia 

Château de Tournoël


Château de Tournoël

  * Vidéo

Château de Montrognon


Château de Montrognon

  * Vidéo

Fourme d'Ambert


La Fourme d'Ambert est un fromage français de la région Auvergne (mais également du département de la Loire), créé à l'origine dans les environs d'Ambert (Puy-de-Dôme), et qui bénéficie d'une appellation d'origine contrôlée (AOC) depuis 1972. Ce fromage fait désormais l'objet d'une protection européenne sous le label de qualité AOP : appellation d'origine protégée.

Description.

C'est un fromage à base de lait de vache, à pâte persillée, non cuite et non pressée, à croûte sèche et fleurie, dont les dimensions sont d'environ 13 cm de diamètre, 19 cm de hauteur et dont le poids avoisine les 2,2 kg.

Son nom fourme vient du latin forma qui serait aussi à l'origine du mot fromage.

Fabrication.

Le lait est chauffé à 32 °C, on ajoute la présure pour le faire cailler et le penicillium roqueforti qui sera à l'origine de la formation du « bleu ». Une fois que le lait est caillé (solide), il est tranché en petits cubes. Le fromager va ensuite coiffer le grain de cailler. Le « coiffage » consiste en une succession de brassages lents entrecoupés de phases de repos. Cette opération permet au grain de caillé d'être entouré d'une fine protection qui évitera l'agglomération complète des grains lors de la mise en moule en ménageant des ouvertures entre eux. Cette étape est primordiale pour permettre le développement du Penicillium roqueforti dans les cavités préservées entre les grains coiffés.

Viennent ensuite les opérations de piquage, qui apportera l'oxygène indispensable au développement homogène du pénicillium dans les petites cavités du fromage, et d'affinage en cave pendant au moins 28 jours à une température oscillant entre 8 et 12 °C.

La production de 2006 totalisait 6 200 tonnes.

Une grosse partie de la production est le fait de structures laitières. Actuellement, trois producteurs fermiers produisent dans le cadre de l'AOP, dont un sur le canton même d'Ambert, dans la commune de Valcivières, à proximité immédiate du Col des Supeyres.

Pour bénéficier du label AOP, les fourmes doivent suivre des conditions de productions précises contrôlées par des organismes indépendants.

Aire de production.

La Fourme d'Ambert peut être produite dans une zone assez vaste :

    * 43 cantons du département du Puy-de-Dôme (soit les zones de montagne du Puy de Dôme excluant donc les plaines de Limagne)
    * 8 communes sur 3 cantons du département de la Loire
    * 5 cantons du nord-est du département du Cantal.

Histoire de l'AOC.

Ce fromage est sans doute l'un des plus anciens de France. Il était traditionnellement produit dans les zones d'estive des Hautes Chaumes des monts du Forez sous le nom de fourme de Pierre sur Haute. C'est sous ce nom que le fromage a fait l'objet d'un label dès 1940.

Le 9 mai 1972 était créée une appellation d'origine contrôlée commune à la Fourme d'Ambert et à la Fourme de Montbrison, la Fourme d'Ambert et de Montbrison, qui dura près de trente ans. Les deux appellations ont été séparées par décrets du 22 février 2002.

Désormais, ce fromage bénéficie de l'AOP : Appellation d’Origine Protégée, qui est l’un des quatre labels (AOP, IGP, STG, Agriculture Biologique) de l’origine et de la qualité reconnus par l’Europe. Ces trois lettres de noblesses sont garantes d’un produit qui est issu d’une région géographique, dont la qualité est avérée, qui respecte des caractéristiques du milieu et des facteurs naturels ou humains.

La différence entre les fourmes d'Ambert et de Montbrison réside essentiellement dans les techniques actuelles d'égouttage et de salage :

    * la Fourme d'Ambert subit un égouttage réduit et salage au sel sec en surface ou par saumure ;
    * la Fourme de Montbrison subit pré-égouttage, broyage et salage dans la masse du caillé ; sa phase de séchage s'effectue couchée dans des chéneaux d'épicéa.



Sources : Wikipédia 

Bleu d’Auvergne


Le Bleu d’Auvergne est un fromage français, de la région Auvergne, à pâte persillée fabriqué à partir de lait cru ou pasteurisé de vache, traditionnellement cylindrique. Il bénéficie depuis 1975 d’une appellation d’origine contrôlée (AOC) ou appellation d'origine protégée (AOP), nouvelle dénomination). La zone de production du Bleu d’Auvergne s’étend sur deux départements (Puy-de-Dôme et Cantal) et cantons limitrophes (dans l’Aveyron, la Corrèze, la Haute-Loire, le Lot, la Lozère).

Description.

Les fromages se présentent sous la forme de cylindre, d’un diamètre de 20cm, mesurant 8 à 10 cm d’épaisseur et d’un poids de 2 à 3 kg.

La teneur en matière sèche doit être de 52g minimum pour 100g de fromage.

La teneur en matière grasse doit être de 50g pour 100g de matière sèche.

Tranché, le Bleu d’Auvergne dévoile une pâte de couleur blanche à ivoire, onctueuse, parsemée de moisissures bleu-vert et sa très fine croûte naturelle fleurie peut présenter des reflets de la même teinte.

Histoire.

C’est à une quarantaine de kilomètres à l’ouest de Clermont-Ferrand que le Bleu d’Auvergne a gagné une réputation qui au fil des décennies, ne s’est pas démentie.

Il est né au milieu du XIXe siècle, de la nature et de la passion d’un enfant du pays. A cette époque, un fermier auvergnat imagina d’ensemencer du lait caillé avec la moisissure bleue qui se formait sur le pain de seigle puis de la percer avec une aiguille. L’air pénétrant dans les trames fit le reste, les premiers Bleus d’Auvergne allaient voir le jour. Les Auvergnats ont très vite domestiqué cette découverte et ont profité des ressources naturelles de la région, et des grottes froides qui permettaient au fromage de s’affiner lentement. Actuellement, l’affinage dure environ 4 semaines.

Fabrication.

Depuis 150 ans, le Bleu d’Auvergne a gardé une tradition de fabrication et d’affinage irremplaçable qui lui donne son goût généreux et rustique.

Fabriqué quasi exclusivement en laiterie, le lait de vache y est mélangé avec du pénicillium, qui sera à l’origine du bleu, puis ensemencé. Le caillé, une fois tranché et égoutté, est délicatement brassé pour « coiffer le grain », c’est-à-dire commencer l’égouttage au niveau de chaque grain de caillé. Il est ensuite placé dans des moules où il finit son égouttage. Alors vient l’étape du salage à la main : on dépose sur le "talon" du fromage et sur le dessus du sel qui peu à peu pénètre à l’intérieur de la pâte.

Pour se développer, le bleu a besoin d’oxygène ; c’est pourquoi le Bleu d’Auvergne est piqué à l’aide d’aiguilles, à son entrée en cave, pour favoriser l’aération jusqu’à son cœur. Les aiguilles à tricoter d’autrefois ont depuis longtemps cédé la place à un piquage mécanique qui permet aujourd’hui d’obtenir des persillages homogènes.

Puis, pendant quatre semaines minimum, le Bleu d’Auvergne est affiné en caves fraîches et humides, ce qui lui permet d’acquérir au fil des jours son onctuosité et son goût.


Pour fabriquer un Bleu d’Auvergne, il faut :

    * 20 à 25 litres de lait
    * du penicillium glaucum ou roqueforti pour développer le bleu



Sources : Wikipédia 

Date du Jour - 16 janvier

Le 16 janvier est le 16e jour de l'année du calendrier grégorien. Il reste 349 jours avant la fin de l'année, 350 jours dans le cas des années bissextiles.

C'était généralement le 27e jour du mois de nivôse dans le calendrier républicain français, officiellement dénommé jour du plomb.

L'on fête les Marcel

  * Marcellus Ier fut le 30e pape de l'Église catholique. Son pontificat ne dura que deux ans (308-309). Il succédait à Marcellin (296-304) après quatre ans de vacance du siège pontifical, à une époque où les persécutions contre les Chrétiens (Persécution de Dioclétien) étaient très importantes.
Marcel Ier dut réorganiser le culte dans des bâtiments provisoires, les églises ayant été saccagées sous Dioclétien, en établissant vingt-cinq presbytéraux à Rome. Il dut aussi gérer le cas des Chrétiens apostats, qui avaient renié le Christ depuis la persécution de l'empereur Dèce et aurait exigé d'eux un acte de pénitence.
L 'empereur Maxence, irrité contre le franc-parler de saint Marcel, l'aurait réduit à l'état d'esclave et transformé en palefrenier.
La Légende dorée rapporte que c'est l'empereur Maximien qui transforma en étable à bestiaux la demeure d'une dame chez laquelle le pontife célébrait la messe, et força ce dernier à garder les animaux.
Il est mort probablement le 16 janvier 309 et aurait été enseveli aux Catacombe de Priscille, à Rome, où reposent de nombreux martyrs.
Il a été canonisé et est fêté le 16 janvier. Il est le saint patron des grainetiers.

Quelques évènements :

Voiturette Renault Type D Série B de 1901.
  * 1235 : Mariage du duc de Bretagne Jean Ier le Roux avec Blanche de Champagne, fille du comte de Champagne Thibaut IV le Chansonnier. - 1646 : L'armée française occupe la ville belge de Courtrai. - 1666 : La France, alliée de les Provinces-Unies, déclare la guerre à l'Angleterre. - 1778 : La France reconnaît l'indépendance des États-Unis. - 1800 : Première au Théâtre Feydeau à Paris de l'opéra-comique en trois actes les Deux journées ou le Porteur d'eau, de Luigi Cherubini. - 1943 : Hitler ordonne la destruction des vieux quartiers de Marseille. - 1945 : En France, Nationalisation de Renault. - 1947 :Vincent Auriol est élu président de la République (premier président de la quatrième République) de 1947 à 1953. - 1954 : Début du mandat de président de la République de René Coty. - 1962 : De Gaulle promet l'autodétermination aux Algériens. - 1986 : Réception officielle du professeur Jean Hamburger (1909-1992) à l'Académie française. - 1996 : Une semaine après la mort de François Mitterrand, son ancien médecin personnel, le Dr Claude Gubler, affirme dans un livre intitulé Le Grand Secret, que l'ancien président de la République se savait atteint d'un cancer depuis novembre 1981 et qu'il n'était plus en état d'assumer ses fonctions depuis novembre 1994. Le tribunal de grande instance de Paris ordonnera, le 18, l'interdiction de la diffusion de ce livre. - 2002 : Le rapport final sur l'accident du Concorde survenu le 25 juillet 2000 à Gonesse (Val-d'Oise) par le Bureau Enquête-Accidents (BEA), confirme que la présence d'une lamelle métallique perdue par un avion cinq minutes plus tôt sur la piste est à l'origine de la catastrophe aérienne qui a fait 113 morts.

Naissances :

  * 1655 : Bernard de Montfaucon, bénédictin de la congrégation de Saint-Maur, oeuvres: Paleographia, Monuments de la monarchie française, Analecta Graeca († 21 décembre 1741). - 1675 : Louis de Rouvroy, duc de Saint-Simon, écrivain français, célèbre pour ses Mémoires († 2 mars 1755). - 1678 : François Cottignies, dit Brûle Maison chansonnier lillois († 1742). - 1822 : Henri d'Orléans, duc d'Aumale, académicien français († 7 mai 1897). - 1849 : Eugène Carrière, écrivain français († 27 mars 1906). - 1853 : André Michelin, ingénieur et industriel français († 4 avril 1931). - 1858 : Henri Gourgouillon, sculpteur français († 3 mars 1902). - 1872 : Henri Busser, compositeur et chef d'orchestre français († 30 décembre 1973). - 1884 : Jules Supervielle, écrivain français († 17 mai 1960). - 1903 : Pierre-Henri Simon, académicien français († 20 septembre 1972). - 1906 : François Coulet, diplomate français († 11 juin 1984). - 1911 : Roger Lapébie, cycliste français († 12 octobre 1996). - 1919 : Roger Nicolas, humoriste français († 17 août 1977). - 1921 : Pierre Sipriot, journaliste français († 13 décembre 1998). - 1922 : Jean Gaven, acteur français. - 1925 : Anne-Marie Carrière, actrice française († 29 décembre 2006). - 1929 : Jean Boissonnat, journaliste français. -  1930 : Micheline Luccioni, actrice française († 24 décembre 1992). - 1932 : Alain Jessua, réalisateur, producteur et scénariste français. - 1934 : Marcel-Pierre Cléach, homme politique français. - 1934 : Marcel Barouh, pongiste français. - 1938 : Jean-Claude Narcy, journaliste français. - 1942 : Richard Bohringer, acteur, chanteur et auteur français et sénégalais. - 1942 : Nicole Fontaine, femme politique française. - 1947 : Juliet Berto, metteur en scène de théâtre et réalisatrice de cinéma française († 10 janvier 1990). - 1961 : Nicolas Miguet, homme d'affaire français.

Décès :

  * 1678 : Madeleine de Souvré, marquise de Sablé, écrivaine française (° 1599). - 1659 : Charles Annibal Fabrot, juriste français (° 15 septembre 1580). - 1854 : Charles Gaudichaud-Beaupré, botaniste français (° 4 septembre 1789). - 1888 : Charles Nègre, peintre français (° 9 mai 1820). - 1891 : Léo Delibes, compositeur français (° 21 février 1836). - 1986 : Jean Cassou, écrivain, résistant, critique d'art, traducteur, et poète français (° 9 juillet 1897). - 1989 : Pierre Boileau, écrivain français (° 28 avril 1906). - 2001 : Jules Vuillemin philosophe et auteur français (° 15 février 1920). - 2002 : Jean Elleinstein, historien français (° 6 août 1927). - 2011 : Joseph Poli, journaliste français (° 14 avril 1922).

Sources : Wikipédia 

Date du Jour - 15 janvier

Le 15 janvier est le 15e jour de l'année du calendrier grégorien. Il reste 350 jours avant la fin de l'année, 351 dans le cas des années bissextiles.

C'était généralement le 26e jour du mois de nivôse dans le calendrier républicain français, officiellement dénommé jour de l'étain.

L'on fête les Rémi

Quelques évènements :

Supplément littéraire du
dimanche du Figaro en 1894.
  * 1208 : Comté de Toulouse. Pierre de Castelnau est assassiné. Cet évènement est à l'origine de la Croisade des Albigeois. - 1369 : (Guerre de Cent Ans) – La rupture du Traité de Calais provoque la reprise de la guerre. Édouard III se proclame à nouveau roi de France. - 1382 : Publication d'une ordonnance royale de Charles VI sur la perception des aides, rétablissant des contributions indirectes (dites aides) sur les marchandises, en particulier sur le sel et le vin, qui va déclencher des révoltes populaires dans le royaume, sans même attendre son application au 1er mars. - 1388 : L'abbé de Saint-Denis Guy de Monceau fait savoir qu'il accepte l'arbitrage du cardinal de Laon dans le litige entre l' évêque de Paris et lui, relativement au jugement d'un hérétique détenu dans les prisons de l'abbaye. - 1484 : Tours. Début des États Généraux. Ils exposent un programme politique complet : subsides au pouvoir royal en échange des libertés civiles et commerciales ; rétablissement de la Pragmatique Sanction ; indépendance des États provinciaux. Pour la première fois, les actes officiels des états contiennent les termes « Tiers État » et « États Généraux ». - 1552 : Lorraine. Après Mühlberg, les protestants allemands négocient avec la France. Maurice de Saxe va jusqu'à promettre la succession impériale à Henri II. Un traité est signé à Chambord le 15 janvier 1552. Début avril, les troupes françaises marchent sur la Lorraine ; le 18, le roi fait son entrée à Metz ; le 12 juin Verdun est occupé. Au cours de l'automne, Charles Quint échoue devant Metz. Les Trois-Evêchés impériaux, Metz, Toul et Verdun, sont annexés à la France. - 1648 : Anne d’Autriche tient un lit de justice au Parlement de Paris pour forcer l'enregistrement d'édits fiscaux. C'est le début de la Fronde. - 1790 : Paris : Un décret fixe à quatre-vingt-trois le nombre de départements. - 1791 : Paris : Un nouvel impôt, la contribution mobilière, est institué. - 1793 : Paris : 691 députés reconnaissent le roi coupable de conspiration, 424 d'entre eux, dont certains Girondins refusent le plébiscite. - 1797 : Victoire de Bonaparte sur les Autrichiens à Rivoli en Italie (bataille de Rivoli). - 1826 : Les Parisiens découvrent le premier numéro de l'hebdomadaire Le Figaro. - 1858 : Représentation de Le Médecin malgré lui, opéra en cinq actes de Charles Gounod, au Théâtre Lyrique de Paris d'après la comédie de Molière (1666). - 1896 : Siam : Les Anglais et les Français signent un accord sur leurs influences respectives dans le Sud-Est asiatique. La France confirme l'indépendance du Siam et se voit reconnaître le protectorat sur le Laos. - 1898 : Parution de Cyrano de Bergerac d'Edmond Rostand. - 1910 : Le Congo français devient l'Afrique équatoriale française. - 1916 : Décès de François Étienne, dernier élève de Maréchal de Metz (1801-1887) et officier d'académie à Bar-le-Duc. - 1922 : Raymond Poincaré succède à Aristide Briand. - 1927 : Paris : Inauguration du boulevard Haussmann. - 1929 : Paris : Le premier numéro des Annales d'histoire économique et sociale paraît. - 1932 : Les Français achèvent la pacification du Maroc. - 1934 : Corbigny (Nièvre, France): l'avion Dewoitine D 332 L'Émeraude, de retour d'Indochine s’écrase. Les 10 passagers dont le pionnier de l'aviation Maurice Noguès et le gouverneur général français de l'Indochine Pierre Pasquier sont tués. L'avion venait à l'aller d'établir un record de vitesse entre Paris et Saïgon. - 1993 : Signature à Paris par cent trente pays d'un traité refusant les productions et utilisation des armes chimiques. - 1999 : La chambre d'accusation de la cour d'appel de Paris décide de rendre un non-lieu au bénéfice d'Ilich Ramírez Sánchez, dit Carlos, dans le dossier de l'attentat du Drugstore Saint-Germain du 15 septembre 1974. - 2001 : Le ministère de la Défense annonce que les résultats de la recherche d'uranium appauvri effectuée chez cinq militaires français ayant servi dans les Balkans et hospitalisés pour des maladies sanguines sont négatifs. - 2002 : AZF Toulouse : le procureur écarte toute cause non accidentelle à l'explosion. - 2003 : Le préfet de Corse, Bernard Bonnet, est condamné à trois ans de prison (incendie des paillotes). - 2004 : Naufrage au large du sud-ouest de l'Angleterre d'un chalutier français, le « Bugaled Breizh » dans des circonstances mal définies. Deux mort et trois disparus. - 2005 : Un autocar transportant une cinquantaine d'adolescents de retour de classe de neige fait une chute dans un fossé au bord de la RN7, près de Saint-Martin-d'Estréaux (Loire), blessant sérieusement six jeunes de 12 et 13 ans ainsi que le conducteur du véhicule âgé de 70 ans. Le gouvernement imposera les jours suivants une visite médicale annuelle aux conducteurs de transports en commun de plus de 60 ans.

Naissances :

  * 1622 : Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, dramaturge et acteur de théâtre français. On ne peut pas l'affirmer avec certitude, il s'agit du jour de son baptême († 17 février 1673). - 1732 : Jean-Baptiste-Antoine Suard, académicien français († 20 juillet 1817). - 1763 : François-Joseph Talma, acteur français († 19 octobre 1826). - 1809 : Pierre-Joseph Proudhon, publiciste, économiste, sociologue et socialiste français, le premier à se qualifier d'anarchiste († 19 janvier 1865). - 1814 : Pierre-Jules Hetzel, éditeur français († 17 mars 1886). - 1824 : Alphonsine Plessis, inspiratrice de La dame aux camélias, d'Alexandre Dumas fils († 3 février 1847). - 1842 : Paul Lafargue, médecin et homme politique français († 26 novembre 1911). - 1880 : Marcel Vallée, acteur français († 31 octobre 1957). - 1881 : Pierre Monatte, syndicaliste anarchiste français († 27 juin 1960). - 1883 : Lucien Pothier, cycliste français († 29 avril 1957). - 1899 : Louis Guilloux, écrivain français († 14 octobre 1980). - 1912 : Michel Debré, homme politique français gaulliste et académicien français († 2 août 1996). - 1919 : Maurice Herzog, alpiniste et homme politique français. - 1942 : Pierre Faurre, homme d'affaire français († 6 février 2001). - 1949 : Dan Ar Braz, auteur-compositeur-interprète français. - 1950 : Martine Monteil, haut fonctionnaire française. - 1950 : Marius Trésor, footballeur français. - 1951 : Catherine Trautmann, femme politique française. - 1954 : Alain Joyandet, homme politique français. - 1955 : Thierry Breton, ministre de l'économie et des finances français. - 1963 : Azedine Berkane, a tenté d'assassiner Bertrand Delanoë. - 1975 : Mary Pierce, joueuse de tennis française. - 1977 : Rachida Brakni, actrice française. - 1979 : François Gelez, joueur de rugby à XV français.

Décès :

  * 1208 : Pierre de Castelnau, religieux de Cîteaux, Cistercien français. - 1683 : Guillaume Lamy, médecin et philosophe français (° 1644). - 1801 : Louis Bastoul, général d'empire (° 19 août 1753). - 1844 : Henri Gratien Bertrand, général d'empire (° 28 mars 1773). - 1955 : Yves Tanguy, peintre franco-américain du courant surréaliste (° 5 janvier 1900). - 1994 : Gabriel-Marie Garrone, cardinal français de la Curie romaine (° 12 octobre 1901). - 2002 : Michel Poniatowski, ancien ministre français et historien (° 16 mai 1922). - 2004 : Le révérend père Ambroise-Marie Carré, religieux dominicain et académicien français (° 25 juillet 1908). - 2005 : Michel Moine, journaliste, écrivain, occultiste français (° 8 mars 1920). - 2007 : René Riffaud, un des derniers poilus français de la Première Guerre mondiale. (° 19 décembre 1898). - 2009 : René Coll, chef d'orchestre (° 10 septembre 1941).

Sources : Wikipédia 
Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...