Seigneurie.
Aix est le berceau de la grande famille des La Fayette. Pons Motier, chevalier, seigneur de La Fayette, participa à la septième croisade, il épousa Hélis Brun, fille du seigneur de Champetières, leur fils aîné, Gilbert prit le nom de La Fayette, le second, Pons, celui de Champetières.
La branche aînée conserva la seigneurie jusqu’à René Armand, comte puis marquis (1659-1694), parmi ses représentants on trouve Michel, maréchal de France (1380-1462), compagnon de Jeanne d’Arc, et François, époux de l’auteur de La princesse de Clèves, le célèbre roman du XVII° siècle.
La fille unique de René Armand épousa en 1706 Charles, duc de La Trémouille, et laissa ses biens à un cousin de la branche cadette, Jacques Roch Motier de Champetières qui devint ainsi marquis de La Fayette, étant sans héritier, son frère lui succéda, celui-ci est le père de Gilbert Motier de La Fayette qui s’illustra dans la guerre d’Indépendance américaine et sous la Révolution.
Les médiocres vestiges de cette maison forte, à un kilomètre cinq cent au sud du bourg, détruite par un incendie en 1850 et transformée en ferme, ne mériteraient pas d’être mentionnés s’ils n’étaient le berceau des Motier de La Fayette.
Le château féodal primitif, abandonné au XIV° siècle, devait être établi sur une hauteur voisine. Les éléments subsistants de la maison forte se réduisent à un corps de logis rectangulaire avec une porte de style Renaissance dont les claveaux, les piédroits, les soubassements et les chaînes d’encoignures offrent une alternance de granite poli et de pierres fouillées d’étoiles ou de retraits vermiculés ; le motif central du fronton brisé de la porte manque.
Le château fut vendu par le général de La Fayette lors de son départ pour l’Amérique aux Micolon d’Ambert, il sera confisqué comme bien national après l’émigration de ces derniers.
En 1820, La Fayette aurait voulu racheter son domaine, mais le prix demandé le découragea. Après l’incendie de 1850 un cultivateur de La Fougère en releva les ruines. Plusieurs tentatives de rachat dont l’une du « Lafayette Mémorial Fund » de Chavagnac en 1919, sont restées sans résultat.
Sources : André Georges Manry « Histoire des communes du Puy de Dôme »
Commune.
Aix la Fayette est une commune française, située dans le département du Puy-de-Dôme et la région Auvergne.
Histoire.
Aix fut le premier fief de la famille de La Fayette, dont le plus illustre représentant est Gilbert du Motier, marquis de La Fayette (1757-1834). Toutefois, à l'époque où celui-ci vivait, la famille avait déjà migré depuis plus d'un siècle vers des terres au climat plus clément, à Chavaniac-Lafayette (Haute-Loire) puis à Versailles et à Paris.
Du petit château originel, il ne subsiste que des soubassements, sur lesquels fut édifiée une habitation particulière, depuis laquelle, par beau temps, on a une vue agréable sur les volcans d'Auvergne, principalement le Puy de Dôme et le Sancy.
En revanche, la commune a vu naître François d'Aix de La Chaise (1624-1709), dit le Père La Chaise, qui entra dans la Compagnie de Jésus, devint en 1674 confesseur du roi de France Louis XIV et exerça sur celui-ci une influence modératrice dans la lutte contre le jansénisme.
Sous l'Ancien Régime, le vocable de la paroisse était Saint-Julien.
Sources : Wikipédia
Aix est le berceau de la grande famille des La Fayette. Pons Motier, chevalier, seigneur de La Fayette, participa à la septième croisade, il épousa Hélis Brun, fille du seigneur de Champetières, leur fils aîné, Gilbert prit le nom de La Fayette, le second, Pons, celui de Champetières.
La branche aînée conserva la seigneurie jusqu’à René Armand, comte puis marquis (1659-1694), parmi ses représentants on trouve Michel, maréchal de France (1380-1462), compagnon de Jeanne d’Arc, et François, époux de l’auteur de La princesse de Clèves, le célèbre roman du XVII° siècle.
La fille unique de René Armand épousa en 1706 Charles, duc de La Trémouille, et laissa ses biens à un cousin de la branche cadette, Jacques Roch Motier de Champetières qui devint ainsi marquis de La Fayette, étant sans héritier, son frère lui succéda, celui-ci est le père de Gilbert Motier de La Fayette qui s’illustra dans la guerre d’Indépendance américaine et sous la Révolution.
Les médiocres vestiges de cette maison forte, à un kilomètre cinq cent au sud du bourg, détruite par un incendie en 1850 et transformée en ferme, ne mériteraient pas d’être mentionnés s’ils n’étaient le berceau des Motier de La Fayette.
Le château féodal primitif, abandonné au XIV° siècle, devait être établi sur une hauteur voisine. Les éléments subsistants de la maison forte se réduisent à un corps de logis rectangulaire avec une porte de style Renaissance dont les claveaux, les piédroits, les soubassements et les chaînes d’encoignures offrent une alternance de granite poli et de pierres fouillées d’étoiles ou de retraits vermiculés ; le motif central du fronton brisé de la porte manque.
Le château fut vendu par le général de La Fayette lors de son départ pour l’Amérique aux Micolon d’Ambert, il sera confisqué comme bien national après l’émigration de ces derniers.
En 1820, La Fayette aurait voulu racheter son domaine, mais le prix demandé le découragea. Après l’incendie de 1850 un cultivateur de La Fougère en releva les ruines. Plusieurs tentatives de rachat dont l’une du « Lafayette Mémorial Fund » de Chavagnac en 1919, sont restées sans résultat.
Sources : André Georges Manry « Histoire des communes du Puy de Dôme »
Commune.
Aix la Fayette est une commune française, située dans le département du Puy-de-Dôme et la région Auvergne.
Histoire.
Aix fut le premier fief de la famille de La Fayette, dont le plus illustre représentant est Gilbert du Motier, marquis de La Fayette (1757-1834). Toutefois, à l'époque où celui-ci vivait, la famille avait déjà migré depuis plus d'un siècle vers des terres au climat plus clément, à Chavaniac-Lafayette (Haute-Loire) puis à Versailles et à Paris.
Du petit château originel, il ne subsiste que des soubassements, sur lesquels fut édifiée une habitation particulière, depuis laquelle, par beau temps, on a une vue agréable sur les volcans d'Auvergne, principalement le Puy de Dôme et le Sancy.
En revanche, la commune a vu naître François d'Aix de La Chaise (1624-1709), dit le Père La Chaise, qui entra dans la Compagnie de Jésus, devint en 1674 confesseur du roi de France Louis XIV et exerça sur celui-ci une influence modératrice dans la lutte contre le jansénisme.
Sous l'Ancien Régime, le vocable de la paroisse était Saint-Julien.
Sources : Wikipédia
1 commentaire:
Le Château de Vissac, est la propièté du Comte de Pusy La Fayette, descendant direct du Général La Fayette.
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